
Alors là, je préfère prévenir tout de suite tous ceux de Saint-Denis qui commenceraient à se faire des idées : quand je dis que je suis soumise, c’est pas juste soumise au lit. La soumission, la vraie, dans le cadre sexuel, c’est pas juste une position osée, c’est un vrai statut à part entière. Moi, ma soumission, je prends ça très au sérieux et je veux justement quelqu’un qui soit à même de l’assumer.
Quelqu’un comme un dominateur habitué à pratiquer du SM. Parce que, oui, je fais pas des parties de jambes-en-l’air simples et convenues. Le fait de baiser fort ne suffit pas non plus. Il faut vraiment de la souffrance et de l’humiliation pour que ça le fasse.
Moi, la baise, quand j’en ai fini, je suis en larme. Autant à cause de la joie que de la souffrance que j’éprouve. Et la souffrance, faut savoir me l’infliger. Faut pas juste le vouloir, mais aussi s’en donner les moyens en frappant où ça fait mal. Psychologiquement surtout.
Tu penses avoir ce qu’il faut ? Prouve-le-moi.